- un accord sur le protocole ABS (accès et partage des bénéfices liés aux ressources génétiques),
- une protection accrue des zones marines et côtières (arrêt de la sur-pêche, protection de 10% des zones marines, côtières et haute mer),
- une protection accrue des zones terrestres (objectif de protection de 17 % des surfaces contre 12% actuellement).
- des engagements financiers des états (ex : la France va investir 4 milliards d‘euros d’ici 2020 dans l’aide au développement).
Rappelons que la biodiversité (diversité naturelle des organismes vivants) regroupe la diversité des écosystèmes, espèces, populations et des gènes dans l’espace et le temps.
Sur le simple sujet des espèces, 1 espèce sur 1000 disparaît chaque année ce qui correspond à un rythme jamais connu jusqu’à présent (mille fois supérieur au taux d’extinction naturel). Ce phénomène est due à l’activité directe ou indirecte des hommes d’où l’urgence d’engager des mesures.
L’UICN (International Union for Conservation of Nature, Union mondiale pour la nature) répertorie les espèces menacées d'extinction en les classant en plusieurs catégories :
- Extinction (EX/éteintes, EW/éteintes à l'état sauvage),
- Menacées (CR/en danger critique d'extinction, EN/en danger, VU/vulnérables),
- À moindre risque (NT/quasi menacée, LC/préoccupation mineure).
Pour plus d’informations, consultez le site de l’UICN : http://www.uicn.fr/.
Lire également les articles suivants : "Adopter un panda", "Acheter des m² et sauver la biodiversité (WWF)".
La revue de presse d'Adafec (http://adafec.blogspot.com)
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